Donne-moi ton ADN...
je te dirai qui tu es
Qui es-tu ? Who are you ? ¿ Quién eres ? 你是谁?
Y a-t-il un seul humain sur terre qui ne se demande pas qui il est ?
Forcément, car la question de l’identité est liée à nos choix, ils montrent qui nous sommes vraiment, beaucoup plus que nos aptitudes. Ce que dit l’éthique d’Aristote, la déontologie d’Emmanuel Kant et l’existentialisme de Jean-Paul Sartre… et plus proche de nous, l’humanisme marginal d’Albus Dumbledore.
Mais si nos choix déterminent ce que nous sommes, qu’est-ce qui détermine nos choix ?
Cette épineuse question réflexive a été largement débattue au minimum depuis l’Antiquité d’un point de vue philosophique, mais aussi bien sûr scientifique. De nombreuses disciplines s’y sont attelées, chacune avec l’idée d’apporter des explications : anthropologie, sociologie, psychologie, neurosciences, génétique comportementale… et bien sûr la biologie moléculaire.
En 2025, chaque être humain a la possibilité de connaître, grâce à la composition de son ADN, les origines géographiques précises de ses ancêtres éloignés.
C’est la piste que j’ai suivie récemment avec cette question en tête : qu’y a-t-il derrière ces tests ADN ? Pourquoi tester ses origines ? Quels résultats espérer ? Comment cela fonctionne-t-il ? Les réponses parlent de toi, de nous en tant qu’humanité, et c’est vers elles que je t’entraîne aujourd’hui pour la première édition de mes ruses. Tu me suis ?
Pourquoi tester ses origines ? Ben parce que c’est fun !
À une époque, j’aimais bien faire les tests de personnalité dans les dernières pages du magazine télé. C’était marrant de lire parler de moi, même si je ne croyais que la moitié de ce qui était écrit, et de préférence ce qui ressortait de positif…
Avec les tests ADN, la curiosité est la même, et l’excitation encore plus grande face à la révélation. Vais-je apprendre quelque chose ? Mes espoirs seront-ils confirmés ? Serai-je déçu, ou choqué ?
C’est humain de vouloir connaître ses origines.
À notre époque, on questionne beaucoup plus les repères fondamentaux qu’auparavant. Pas étonnant remarque, avec la tricherie et l’incompétence ambiante, sans parler des couleuvres qu’on avale tous les jours.
L’ADN, lui, ne ment pas, ne trompe pas. Il témoigne, avec grâce et simplicité, de la réalité tangible de nos ancêtres. Ça donne un peu le vertige quand on y pense.
Imagine, toi et moi avons des ancêtres qui ont vécu à la préhistoire, ont été contemporains de Cléopâtre, d’Erasme, de Gengis Khan… C’est fou. On se prend à rêver d’ascendances prestigieuses ou exotiques, à confirmer une pureté, à se souhaiter des origines inattendues… Jusqu’à l’annonce des résultats.

À quel genre de résultat s’attendre ?
Pour bien comprendre, on va commencer tranquille avec des notions de base, j’expliquerai un peu plus tard comment sont réalisés les tests.
Tout d’abord, ton génome :
C’est la totalité de ton ADN
Est présent en un exemplaire dans chacune des cellules de ton corps, sauf tes globules rouges qui n’en ont aucun, et tes gamètes qui n’en ont qu’une moitié.
C’est 100 % de ton identité génétique.
Les tests déterminent de quelles régions particulières du monde certaines fractions de celui-ci proviennent.
Par exemple, tu pourrais être 32 % basque, 28 % breton (la classe), 15 % anglais, 13 % polonais, 7 % « africain » (peu précis pour ce continent, parce qu’il n’y a pas assez de données) et 5 % indien.
Personnellement, je sais que je ne suis pas bretonne pur beurre et qu’un peu de belgitude coule dans mes veines… mais dans quelles proportions ? Et mélangé à quelles autres origines qui claquent leur race ?
Je t’aurais bien donné mon résultat, mais je ne me suis pas testée. Même si la curiosité me dévore, je n’ai pas franchi le pas.
Pourquoi ?
Il faut déjà savoir que la France n’autorise pas ces tests. Bon, dans la pratique, plein de Français ont déjà contourné l’interdiction sans problème. Mais moi, non. Et ce n’est pas PARCE QUE c’est illégal… d’autres éléments motivent ce choix.
Par ici les gros sous !
Il existe une poignée d’entreprises privées qui proposent ce service. Bien sûr, aucune n’est française :
AncestryDNA (USA)
23andMe (USA)
MyHeritage ADN (Israël)
FamilyTreeDNA (UK)
Living DNA (USA)
CRI Genetics (USA)
Et qui dit entreprise privée dit profits, et de préférence, profits massifs. Tu te demandes comment ces entreprises se font un max de thunes ? Eh bien de deux manières, dont l’une dépend de l’autre :
En vendant des tests à toi, ta famille, tes amis,
En vendant à d’autres entreprises les données récoltées sur toi, ta famille, tes amis.
Bien sûr, toutes ces firmes n’ont pas exactement le même modèle économique, ni les mêmes politiques de confidentialité. Il serait beaucoup trop long et beaucoup trop casse-pieds de te détailler exactement qui fait quoi, je te laisse te renseigner par toi-même.
Simplement, si l’aventure te tente, sache que tu livreras tes données à « on-ne-sait-qui » qui pourrait en faire « on-ne-sait-quoi ». Et attention, je ne suis pas en train de te servir de la soupe complotiste : c’est exactement pour cette raison que ces tests sont interdits en France !
Big data
Les datas, informations qualitatives et quantitatives (qui, quand, comment, combien, etc.), sont une denrée extrêmement recherchée. Elles possèdent donc une grande valeur marchande.
Pour une entreprise, compiler les millions de datas individuelles représente une véritable manne.
Les données collectées sont préparées, puis vendues à d’autres entreprises. Ces dernières, en faisant parler les chiffres, révèlent des marchés. C’est ainsi qu’elles s’informent sur les directions stratégiques à prendre pour le design de nouveaux produits, qui seront ensuite vendues à une clientèle ciblée grâce aux datas.
Pour ce qui concerne l’ADN, le marché atteignait 1,59 milliard de dollars en 2024 et devrait grimper jusqu’à 7,52 milliards d’ici 2033 (ces chiffres sont valables pour l’ensemble des tests génétiques, c’est-à-dire les tests d’ascendance, mais aussi liés uniquement à la santé).
Finalement, ces entreprises reçoivent un peu d’argent de ta part pour te fournir l’info que tu cherches. Mais finalement, c’est aussi un don que tu leur fais, le don de tes données personnelles.
Un peu comme quand tu acceptes les cookies sur le web, que tu passes ta carte de fidélité au magasin, ou que tu utilises ta montre connectée... Tu vois ? Avec l’ADN, on joue dans la cour des grands. On ne parle plus de simples datas d’utilisation, mais de données biologiques fondamentales : tu as bien compris, l’enjeu financier et éthique est beaucoup plus gros !
Mais mettons de côté la morale pour un temps, on en reparlera plus tard. Demandons-nous plutôt comment les entreprises ont pu monter un tel business, sur quoi elles s’appuient. La réponse est assez simple : elles valorisent des connaissances établies dans le milieu académique : biologie moléculaire, biochimie et chimie des matériaux, mathématiques, informatique, statistiques…
J’aimerais t’en parler un peu. N’aies pas peur, tu vas tout comprendre !
La carte et le territoire
Tout a commencé dans les années 1990-2000 avec le Human Genome Project. Le but de ce truc titanesque : obtenir une carte du génome humain. L’idée sous-jacente : enfin TOUT comprendre du sujet favori d’Homo sapiens : lui-même.
Le projet a mobilisé des milliers de chercheurs tout autour du globe pendant une grosse décennie. Il y a eu des déceptions… et des découvertes.
Aujourd’hui, cette carte du génome humain est fonctionnelle et régulièrement annotée et enrichie. Mais à quoi ressemble-t-elle ? Voici un exemple avec une portion du chromosome 7, tu vas vite comprendre qu’il n’y a qu’un expert pour s’y retrouver.
Ce qu’il est intéressant de retenir quand on n’est pas spécialiste : on sait désormais dans quel ordre s’enchaînent les « lettres » qui composent le « mot » de chaque filament d’ADN qui est en réalité un chromosome (voir l’illustration ci-dessous).

Le total des 23 chromosomes (23 filaments) représente 3 milliards de nucléotides. Mais il n’y a que 4 types de nucléotides différents, et on utilise la première lettre de leurs noms, A, T, G et C* pour les nommer.
La molécule est donc très répétitive. Et pourtant ! L’ordre dans lequel les nucléotides s’enchaînent est bel et bien à l’origine de l’immense diversité du vivant. C’est fou, n’est-ce pas ?
L’enchaînement est identique à 99,9 % (!) d’un humain à l’autre. Dans le 0,1 % qui varie (c’est-à-dire quelques millions de nucléotides), une partie seulement explique pourquoi toi et moi n’avons ni la même tête, ni le même corps. Le reste est un témoin de nos différences ou de nos convergences de lignées, jusqu’ici silencieux… que le test ADN a les moyens de faire parler.
*A : adénine, T : thymine, G : guanine, C : cytosine. Nommées d’après leur matériau de découverte : glande pancréatique (adén- veut dire glande en grec), thymus de veau (fastoche celui-là), guano (= merde de mouette), cellule (kytos en grec… ok rien d’évident).
Traquer les différences
Les tests ciblent donc les variations de nucléotides au sein de séquences rigoureusement identiques d’un humain à l’autre. Ces variations se trouvent à des endroits spécifiques, sur une seule et unique base. Elles se présentent comme un seul choix possible parmi 2. On a appelé ça SNP pour single nucleotid polymorphism.
Par exemple, un SNP peut être le nucléotide « T » dans 97 % de la population humaine, et « C » dans le reste (3 %). Ce nucléotide spécial est caractéristique d’une population régionale du monde (par exemple Scandinavie, péninsule ibérique, steppe mongole, archipel du Pacifique, etc.).
Voilà donc ce que testent les entreprises à qui tu envoies tes échantillons : tes SNPs. C’est à partir de ces données qu’elles déterminent le pourcentage de ta ressemblance avec telle ou telle population. Certaines te proposent même la mise en relation avec des inconnus qui ont des résultats proches des tiens !
L’épineuse question du groupe de référence
Si un jour tu testes ton ADN auprès de deux entreprises concurrentes, tu verras sûrement des différences de résultats. Il y aura des variations de pourcentages, ou alors on t’attribuera des origines différentes dans les pourcentages les plus faibles.
Il n’y a pas d’arnaque, ni d’incompétence. La cause réside dans le fait que chaque entreprise possède sa propre base de données. Elles sont constituées d’après trois sources majeures :
Les bases de données académiques en open access (HapMap Project, 1000 genoms project, Human Genome Diversity Project)
Les bases de données sous licence (payées aux consortiums académiques)
Les données collectées régulièrement sur des volontaires sélectionnés pour leur pureté généalogique (c’est-à-dire 4 grands-parents issus d’une population bien ancrée dans un territoire comme les « natifs » d’Amérique du Nord par exemple)
Pour générer des statistiques robustes, le meilleur moyen est d’amasser d’énormes quantités de données. Impossible de conclure avec trois génomes qui se battent en duel ! Et plus la quantité de données est grande, plus le modèle est fiable.
Pour les pays du continent africain, par exemple, la quantité de données est encore trop faible pour déterminer avec précision l’origine géographique du SNP.
Et toi, en tant qu’humain génétiquement unique, mais lié à tes ancêtres par l’hérédité, tu participes à solidifier le modèle. Tu n’as qu’une seule chose à faire : baver dans un tube et répondre à un questionnaire.
De l’échantillon aux conclusions
Techniquement, comment cela fonctionne-t-il ?
Voici un résumé étape par étape. Je te rassure, nous n’allons pas trop rentrer dans les détails alchimiques, juste ce qu’il faut pour que tu apprennes quelque chose.
Étape 1 : collecte des échantillons et des données
Tu as choisi ton entreprise, tu as commandé et reçu ton kit par la Poste. Pour réaliser le prélèvement, pas besoin de se récurer les naseaux jusqu’au cortex comme on l’a subi il y a quelques années... Un échantillon de salive suffit pour récupérer suffisamment de cellules (qui contiennent l’ADN). Pour certains tests, on te demande de gratter l’intérieur de ta joue.
Ensuite tu scelles le tube. À ce moment-là, des produits savamment dosés sont libérés. Ils font en sorte que ton ADN arrive à bon port totalement intact.
En parallèle, tu rédiges les mémoires de ta santé et celle de tes ancêtres sur 3 générations. Nan, je déconne. En réalité, tout se passe en ligne et est suffisamment léger pour ne pas être rébarbatif (il ne faudrait pas que l’échantillon échappe à devenir une data).
Les questionnaires à rallonge se font en supplément, « pour aider la recherche ». Ce qui, en soi, n’est pas faux, bien sûr. Mais il occulte pudiquement les forts enjeux financiers qu’il y a derrière. Souviens-toi que ces données sont précieuses : dans ces cas-là, le meilleur du marketing est forcément de mise.
Étape 2 : test proprement dit
Quand le labo reçoit ton échantillon dûment identifié avec un code à barres, il est pris en charge pour la phase de tests :
Ton ADN est purifié, dosé, préparé, puis copié par une réaction de polymérisation en chaîne (aka la fameuse « PCR »).
Les très nombreuses copies sont découpées en petits morceaux et les deux brins qui composent l’ADN (voir illustration précédente) sont séparés l’un de l’autre.
Contrairement aux chaussettes, dans le mélange, les millions de brins orphelins ne cherchent qu’à se remettre ensemble ou au moins à trouver des partenaires compatibles. Et c’est justement eux qui leur tendent les bras, dûment accrochés sur une plaquette de verre : la puce SNP.
Après arrimage, les SNPs spécifiques de ton ADN sont repérés par leur couleur de fluorescence : rouge ou vert par un capteur optique. Ensuite, les données brutes sont compilées dans un fichier informatique.
Après le contrôle de qualité du test (parfois, en labo, ça foire et trop souvent, personne ne sait pourquoi), les données sont arrangées dans un logiciel de traitement statistique (je te fais grâce de son fonctionnement).
Les résultats sont ensuite mis à ta disposition en ligne.
Enfin, tu t’extasies de ce que tu apprends sur toi et tu consens ou non te remplir des questionnaires sur ta santé, tes goûts, ton parcours de vie, etc.
Étape 3 : la vente des données
Cette partie du business n’est pas vraiment accessible, je ne peux pas t’expliquer comment cela se passe. Aux États-Unis, en Chine et en Russie, les données sont aussi partageables avec les forces de l’ordre. En France, la CNIL appelle à la vigilance.
L’ADN, c’est beaucoup d’informations privées. Tu as sans doute compris que je renâcle à l’idée que des entreprises en détiennent autant.
Bien sûr, elles ne vendent quand même pas ton identité réelle, ton adresse et toutes tes données brutes, seulement des données qui informent sur la corrélation SNP-trait biologique associé. Mais malheureusement, on n’est jamais à l’abri d’une fuite des données… ou d’un changement de loi sur la publicité des informations. Cela pose des problèmes d’ordre politique, moral et éthique.
Justement, qu’en dit l’éthique ?
Je trouve que nous, humains, devrions beaucoup plus nous interroger sur la portée éthique de ce que nous mettons en place. L’appât du gain et l’attrait pour le confort par la tech a tendance à nous aveugler.
Imagine si on était capable, en parallèle de l’évaluation économique d’un projet, de laisser un espace pour la rationalité sensible ? Cela mènerait à une conscience élargie, hautement désirable mais difficilement atteignable. Et comme l’humain n’aime pas trop faire des efforts… j’te l’dis, on n’est pas rendus !
En attendant, les gens de la bioéthique parlent beaucoup des dérives de la marchandisation du vivant : le patrimoine naturel exploité seulement par quelques-uns. Et cela pourrait bien priver tous les autres de sa libre jouissance.
On n’en est pas encore là avec les tests ADN, mais ce serait possible : une fois tes données ADN vendues, quelqu’un d’autre que toi en est propriétaire. Bien sûr, personne ne va te demander des royalties pour utiliser ton propre génome, mais une partie de toi n’est plus à toi… et ça, ça donne carrément le tournis.
Qu’est-ce que cette démarche traduit de nous ?
Pourquoi donne-t-on autant d’importance à son ascendance ? J’avoue, je suis satisfaite de pouvoir dire que j’ai au moins 62,5 % de sang breton d’après l’arbre généalogique. Mais bon… est-ce que ça intéresse vraiment quelqu’un, au final ?
Pourtant c’est vrai, j’aime savoir qu’une personne possède un ancêtre ceci, ou un parent cela. Ça m’aide à les identifier. Peut-être est-ce un réflexe de conservation ? Qui peut-être permettrait de savoir si, oui ou non, faire confiance ? Ou bien d’éviter les unions consanguines…
Des intellectuels de disciplines diverses travaillent sur la question de la quête identitaire moderne. Pour rendre à peu près bien leur pertinence, j’aurais besoin d’une chronique entière… et j’imagine que la quantité d’information que tu as déjà reçue te suffit pour aujourd’hui.
Après avoir parcouru la pensée de quelques-uns, j’en ressors ceci :
Les humains se détournent des récits symboliques traditionnels pour constituer leur identité. Les bases biologiques les rassurent dans ce qu’elles ont de naturel et surtout d’authentique.
La détermination des origines est une façon de réparer une mémoire brouillée par l’histoire personnelle ou collective (esclavagisme colonial notamment).
Ils évoquent de nombreux risques sérieux, comme une nouvelle forme de racisme et la possible instrumentalisation politique. L’eugénisme est une tendance qui ne se démode pas, malgré toutes les horreurs que l’on commet en son nom.
La science-fiction des années 2000 deviendra-t-elle réalité ? On est en droit de s’inquiéter. Après Orwell et la société de surveillance désormais bien en place, Huxley et la société biologiquement réglementée ?
Unis dans la joie et la bonne humeur
C’est pas très gai, tout ça ! On était partis sur une quête enthousiaste, et on arrive à des perspectives peu engageantes.
C’est l’occasion de parler du fondement même des ruses d’Agile Coyote : je raconte des trucs scientifiques, te faire sourire à l’occasion, mais ce qui m’importe essentiellement, c’est de mettre mon flair et ma plume au service de ton autonomie et de l’enrichissement du collectif.
L’initiative te plaît ? Go dans les commentaires dire tout le bien que tu en penses ! Hehe. Si t’es inspiré, tu peux aussi y suggérer des pistes, je suivrai celles qui me semblent les plus pertinentes/importantes.
Le média* est gratuit et le restera toujours (comme disait Facebook à l’époque). N’empêche, tu pourras bientôt, si tu le souhaites, soutenir mon travail via un compte Tipee.
Et si tu te demandes ce que je fais d’autre dans la vie, sache que je suis rédactrice spécialisée en vulgarisation et en éducation client (toutes les infos sur mon site web).
Je te retrouve la prochaine fois pour explorer une nouvelle ruse !
Christine
*Média, ça fait un peu pompeux, je te le concède. Il se justifie parce que cette formule « newsletter » devrait s’étoffer prochainement avec un podcast, et dans un futur plus lointain, avec des vidéos.






Une sacrée lecture au lever du lit : je n ai pas décroché car je voulais en découvrir plus. Mission réussie !
Ce que j en retiens est que d un laboratoire à l autre, les pourcentages ne seront pas les mêmes du fait de leurs techniques, des données déjà collectées... ce que je comprends mais m interroge sur la véracité de l appartenance finalement. Car parfois à 1% près, cela explique certaines têtes de mule !
Bon boulot Christine
J’vais pas faire semblant, BIEN SÛR que ça m’intéresse. J’suis trop curieux pour ne pas vouloir savoir si j’ai pas une petite origine BG genre australienne.
Bon, à tous les coups je vais me fader du suisse, belge, luxembourgeois… 🖕
Après ça pose aussi des questions éthiques et de manipulation de masse. Mais on commence à y être habitué…
Très bon premier numéro 🫵